Parcours du combattant.


Quand on pousse son corps à ce surpasser par des exercices et efforts quotidien, on ne fait pas que de se renforcer, mais on développe également une perception subtile. C’est une sensibilité interne qui nous fait ressentir un manque ou un surplus. Une sorte de communication sur ses besoins.

Il y en a des deux sortes; dépendant et importunant*. Je ne m’attarderais pas sur leurs définitions, ce n’est pas l’objet de cet article, mais je donnerais juste un exemple pour l’illustration.

Par le manque dépendant, je traduirais la dépendance psychologique à l’effort. Surtout sentie dans l’ensemble des sports d’endurance (course,natation, vélo..).
Le manque importunant quant lui est le résultat d’une gêne interne qui peut avoir des expressions externe. (transpiration forte, mauvaise digestion…)

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Entre une addiction, qui peut être produite par le premier cas et un besoin dépuration traduit par cette sensibilité accrue, développé par un travail sur soi. Une action doit être entreprise.
C’est ce deuxième sujet qui m’intéresse ici.

« Nous sommes des détritus sur pattes ».

Voici une définition qui m’a été donné récemment par un ami, surprenant non?
Si nous ne nous lavons pas pendant plusieurs jours, on fini vite par sentir mauvais.  Tout ça parce que le corps élimine le surplus.
Il y a en tout 5 émonctoires; la peau, l’intestin, le poumon, le foie et le rein. Et le corps, comme la nature elle même cherche un constant équilibre.

Ceux qui me connaissent ou qui suivent fidèlement mon blog, savent que j’ai repris les reines de mon corps depuis bientôt 3 ans, suite à quelques années d’abus de toute sortes.
Mais peu importe! Quoi qu’il en soit, l’intensité de mes efforts était en constante évolution mais avec une écoute particulière de mon corps.
Les premiers effets ont commencé l’année dernière à l’entrée de l’automne et ce sont traduit par une fièvre. Entre les tremblements et la transpiration intense qui ma fait presque croire d’avoir plongé dans une piscine, je suis resté deux jours comme vidé de toutes mes forces.
La deuxième vague est arrivé quatre mois après, et s’est traduit par un désordre intestinal. Une gastro quoi! Habituellement, je n’avais jamais ce genre de problèmes.
Profitant d’une période de congés je me suis « détendu » avec l’air vivifiant de la montagne et des séances quotidiens de sauna. Une semaine de ce régime à produit en moi « ce besoin ». Comme une nécessité de nettoyer un peu plus en profondeur.

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Etant donné que le corps est constitué de près de 80% d’eau, celle-ci à son importance à tous les niveaux et bien entendu sur celui d’élimination. L’eau se trouve partout dans le corps, dans le sang, dans les poumons pendant qu’on respire (au niveau gazeux), dans la lymphe et jusqu’à dans les cellules elles mêmes. Et elle contribue à toutes sortes d’échanges et donc d’élimination, dépuration. Dont la dernière terminaison est l’urine.

Il me fallait donc un examen d’urine.

Et c’est là que à commencé mon parcours du combattant.

Par manque d’expérience ou par naïveté, je me suis tourné tout naturellement vers le laboratoire de mon travail. « On ne fait rien sans ordonnance »
Me voilà donc partis prendre un rdv chez mon médecin attiré, que je vois habituellement….jamais.
Le rdv attendu arrive enfin.
A la question « Qu’est ce qui vous arrive, vous allez bien », j’ai tout naturellement répondu « Rien, tout va bien »
Quand j’ai expliqué la raison de ma visite, j’ai eu droit à un regard sceptique et amusé. Et à un sermon sur la responsabilité du médecin, non pas envers son patient, mais envers ses pairs, les hautes instances médicales et la sécurité sociale.

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Mon sentiment, est que la médecine d’aujourd’hui à besoin des malades, car elle ne fait plus que du curatif. C’est le seul moyen pour elle d’écouler le stock sans cesse alimenté des pilules des loby pharmaceutique.

En chine, en payait un médecin pour ne pas tomber malade et on arrêtait dès quand l’était. La médecine à oublié l’essentiel. La prévention.

Avant d’être questionné, pourquoi, quel sorte de régime (ah, bon? j’ai dis ça moi?!); par qui s’est demandé et j’en passe les meilleurs. J’avais l’impression de demandé de la méthadone ou pis encore!
Devant mon insistance j’ai eu le droit de monter sur la balance et de passer sous la toise avant de me retrouver devant le refus du médecin à me délivrer l’ordonnance souhaité. J’en ai tout de même eu une, mais pour une prise de sang…surement pour une contre-visite?!

Etant têtu par nature, j’ai contacté des labos au téléphone pour savoir s’ils avaient besoin d’une ordonnance pour un test urinaire sur 24 heures.

Résultat de courses, une anomalie au niveau du calcium urinaire traduit par un déficit de la fleure intestinale. Rien de grave en soi, pour l’instant, car une élimination trop rapide et trop importante de calcium peut traduire des troubles latents aux niveaux articulaires, voir des rhumatismes.
La solution? Le remède?
Retrouver une bonne humorale, en somme une bonne eurythmie. En commençant par rétablir l’équilibre hormonal, au niveau de la lymphe eu du sang et en équilibrant l’élimination rénale.

Sans oublier l’essentiel:

« On peut agir sur les troubles chimiques par la danse et la gymnastique » (R.Steiner**)

Car le mouvement c’est la vie.

Ah, j’ai faillis oublier….la fameuse prise de sang. Eh, ben….RAS.

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* les termes sont de moi, l’image la plus concrète que j’ai trouvé pour décrire mes impressions

** l’auteur de la citation est à confirmer

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